A la base, être un « fermier-blogueur » est chose aisée. Il suffit juste de se connecter au net entre chaque traite. Easy-Peasy. Sauf que, bien souvent, quand tu vis dans la campagne néozélandaise, le wifi coûte un bras. La solution la plus simple: aller à la librairie la plus proche. Sauf que, quand t’es fermier, t’as des horaires vraiment pas ordinaires (rappel à lire dans mon dernier article). Tu deviens alors un « squatteur ». Pas très flatteur hein… MAIS au moins, vous qui me lisez, pouvez suivre les aventures d’un « fermier-blogueur-squatteur » qui vit à l’autre bout de la planète…
1, 2, 3 ➡ Lancement de la 1ère chronique « Levons le voile sur la Waitaki… »

Coucher de soleil – Glenavy/Hilderthorpe (home)